Livres de chasse, fauconnerie, cuisiner le gibier, etc…

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Octobre 2024

De la plus grande des baleines au plus rapide des poissons, ces animaux fascinants battent des records ! Soulève les volets et déploie les rabats pour voir apparaître de fantastiques créatures. Découvre le podium des animaux marins les plus gros, les plus longs, les plus rapides et les mieux cachés dans les profondeurs de l’océan.
Dès 7 ans.

De la loutre de mer grégaire au dauphin joueur en passant par le mythique narval et l’emblématique ours polaire, les mammifères marins constituent un groupe vaste, diversifié et de plus en plus menacé. Nombre de leurs ancêtres étaient couverts de poils et marchaient sur la terre ferme. Dans ce livre, pour la première fois, la grande experte des mammifères marins et de leur évolution, Annalisa Berta, passe en revue de nombreuses espèces remarquables encore vivantes ou complètement disparues comme la baleine bleue, l’otarie à fourrure du Nord, le cachalot géant, le paresseux aquatique ou encore la vache de mer quadrupède.

Doté d’une illustration riche, ce livre mène une enquête approfondie sur les crabes du monde entier. On en connaît plus de 7 000 espèces, réparties en 100 familles. Avec leur physiologie particulière et leurs comportements complexes, ils sont considérés comme l’un des groupes d’animaux les plus diversifiés et les plus adaptables. La nuit, ils fréquentent des mers abyssales, le bord des cheminées hydrothermales volcaniques ardentes, les récifs coralliens ensoleillés, les rochers battus par les vagues, les forêts tropicales humides jusqu’au sommet des montagnes, et même les déserts les plus rudes. Jouant un rôle essentiel dans l’écologie marine et côtière, les crabes sont des espèces clés dans des habitats comme les récifs coralliens et les marais tropicaux côtiers. Le Monde des crabes comprend cinq chapitres : les voies de l’évolution ; anatomie et physiologie ; écologie ; reproduction, cognition et comportement ; exploitation et conservation. Chacun, avec des images exceptionnelles, propose une exploration approfondie d’un certain nombre d’espèces, sur des doubles-pages, soulignant les caractéristiques remarquables et souvent inattendues de la vie de ces créatures fascinantes. Beaucoup révèlent des aspects surprenants et même difficilement imaginables qui vous permettront de découvrir ce qu’est véritablement un crabe.
« Avec de belles photographies, ce remarquable ouvrage traite de la beauté et de la diversité des crabes et couvre un vaste éventail de thèmes. J’étudie les crabes depuis des décennies, et cet ouvrage m’a pourtant beaucoup appris. »
Patricia Backwell, Université Nationale Australienne.

Omniprésentes et familières, les fourmis représentent à peu près un tiers de la biomasse des insectes du monde, et occupent pratiquement toutes les régions du globe, des canopées tropicales aux trottoirs urbains. Mais leur importance ne se mesure pas seulement à l’aune de leur nombre : les fourmis sont des espèces fondamentales dans maints types d’habitats, et de leurs interactions avec les plantes, champignons et autres animaux dépend la survie de nombreux écosystèmes aussi fragiles que complexes.

Cet ouvrage magnifiquement illustré explore l’extraordinaire diversité des fourmis et lève le voile sur les systèmes sociaux élaborés qui régissent les comportements collectifs et compétitifs au sein de leurs colonies.

Illustré d’exceptionnels gros plans, organisé en chapitres thématiques, l’ouvrage décrit l’anatomie, l’évolution, le cycle biologique et l’écologie des fourmis, entre autres thèmes majeurs. Chaque chapitre présente en outre des portraits descriptifs des principaux genres, sélectionnés pour leurs fascinantes caractéristiques, telles les fourmis champignonnistes qui construisent des nids de plusieurs milliers de chambres, les fourmis folles jaunes qui peuvent détruire des populations de crabes en quelques heures, ou les fourmis « pots de miel » dont les ouvrières conservent la nourriture liquide dans leur estomac afin d’en faire profiter leurs congénères.

S’appuyant sur les recherches les plus récentes, Le monde des fourmis constitue une introduction accessible et véritablement passionnante sur ces insectes exceptionnels.

 

Le Livre des Alpes vous rapprochera des montagnes de la plus agréable des façons. À travers 288 pages et un millier d’infographies et d’illustrations, apprenez à connaître cet espace culturel unique, au- delà des frontières. De la géographie aux arts culinaires, du ski aux mythes et légendes, de la protection des animaux et de la nature à l’alpinisme, ce livre s’adresse à toutes celles et ceux que les Alpes fascinent – qu’on veuille en gravir les plus hauts sommets ou les contempler depuis la vallée.

Septembre 2024

LA CHASSE DES PETITS MIGRATEURS Grives, merle, alouettes et étourneau.

Le parler chasse de A à Z :
« Le parler chasse de A à Z» est un dictionnaire humoristique d’un genre particulier : prenant beaucoup de liberté avec les termes techniques, il recense des mots que l’on ne trouverait pas usuellement dans un dictionnaire spécialisé et il accompagne chaque définition d’une explication de texte. A l’exception d’un dictionnaire des chasseurs et des pêcheurs paru en 1965 et introuvable aujourd’hui, personne ne s’est essayé à traiter avec humour le monde cynégétique. La chasse a son langage, ses us et coutumes et il fallait introduire un peu de légèreté et de pédagogie à l’attention de tous ceux curieux de découvrir cet univers ou de voir les choses sous un autre angle.

C’est chose faite, avec ce livre.  Paru pour la première fois en 2018, épuisé dans sa version originale, ce dictionnaire a été entièrement revisité dans la présente édition qui intègre plus de 300 entrées nouvelles, dont beaucoup d’actualités, ayant traits aux personnages célèbres, aux chasses traditionnelles, aux modes de chasse à l’étranger, aux armes et munitions, aux noms vernaculaires et aux régionalismes, au piégeage, sans oublier le monde associatif, l’Europe et le vocabulaire juridique.

Traité de fauconnerie

Tome 1 – Le Haut-vol

La chasse à vol est une passion, un mode de vie, une recherche de l’esthé­tique et une forme d’art. Les fauconniers sont les gardiens d’une tradition, d’un langage, de gestes et de valeurs qui ont mérité la reconnaissance universelle de l’Art de la Fauconnerie au titre de patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO. L’ouvrage écrit par le Fauconnier-Maître Patrick Morel ne traite pas seulement du riche patrimoine culturel, il est avant tout un traité pratique, basé sur une longue expérience et des connaissances scientifiques actualisées qui va permettre de découvrir un art peu connu à ceux qui voudraient le pratiquer mais aussi aux ornithologues, chasseurs et amoureux de la nature en général.

La vaste expérience de l’auteur en matière de fauconnerie, fait de ce premier volume sur le haut-vol, l’un des ouvrages les plus riches en connaissances, mais léger et divertissant. Il couvre tous les aspects de la fauconnerie moderne, des traditions qui ont façonné le sport que nous connaissons aujourd’hui à l’éthique et à la philosophie qui le sous-tendent et qui continuent d’évoluer au XXIe siècle. Il emmène le lecteur autour du globe en quête des espèces de gibier les plus recherchées, en décrivant les méthodes et les motivations à travers les expériences de fauconnerie de ceux qui convoitent les vols les plus difficiles dans le cadre de leur art.

Qu’est-ce que le haut-vol ?
Cette chasse se pratique en plaine avec uniquement des faucons. Le fauconnier parcourt la plaine avec son oiseau chaperonné et un chien d’arrêt.
Lorsque le chien localise le gibier, il marque l’arrêt et le fauconnier lui demande de tenir l’arrêt. Alors le fauconnier déchaperonne le faucon et le lâche. Le faucon monte à haute altitude et lorsque celui-ci est bien « placé » le fauconnier ordonne au chien de lever le gibier et le faucon descend sur la proie en piqué à une vitesse foudroyante (entre 300 et 350 km/h). Par la puissance du choc, le piqué foudroyant permet au faucon d’assommer sa proie en vol et aussi de prendre du gibier beaucoup plus volumineux que lui.

On a tué le cochon

70 recettes de la tête aux pieds

C’est bien connu : dans le cochon, tout est bon ! Et ce livre nous le montre à chaque recette. Tous les morceaux de l’animal sont utilisés pour des recettes simples « Rouelles de porc braisées au vinaigre », goûteuses « Wok d’araignée de cochon marinée au gingembre », inventives « Pot-au-feu de queue de cochon à la citronnelle » ou bistronomiques « Rôti d’échine au camembert et à l’andouille façon orloff ».

De la confection du boudin, des saucisses ou du jambon à l’utilisation de la « pluma », du filet mignon ou de la palette, les auteurs vous proposent des recettes de terroir ou aux saveurs exotiques : un tour du monde de la cuisine du cochon. Avec plus de 70 recettes bouchères et charcutières, vous trouverez inévitablement le plat qui vous convient entre la modernité des saveurs et un retour aux sources, lorsque le cochon était tué à la ferme pour remplir le garde-manger sans en délaisser un seul morceau. Un régal des yeux et du palais !

  • SOMMAIRE :
  • 8 Préface
  • 10 Échine, filet, pointe de filet, filet mignon, grillade, travers, pluma, araignée
  • 48 Jambon, jarret, épaule, palette
  • 80 Poitrine, côtes, carré
  • 104 Tête, pied, oreille, joue, queue, foie, langue, cœur, museau
  • 130 Charcuterie, recettes de base
  • 176 Accompagnements
  • 188 Index
  • 192 pages 24,95€
  • POUR COMMANDER

Un très beau livre, une couverture cartonnée, épaisse. Une impression façon « vieux livre« , un beau cadeau de Noël.

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Le titre du livre aurait pu être : « Analyse comportementale du bipède-chasseur vu par le gibier ».

A l’ouverture du livre, je suis allé immédiatement à la table des matières avec l’idée bien préconçue d’y trouver encore et toujours des conseils en balistique, armes, énergies, joules, etc…

Que nenni ! Point de tout cela ! Dans la foulée, je vais à la page 77 :

« Se déplacer sur le territoire de chasse » »

            « On vous a reconnu »

            « Le gibier s’instruit aussi longtemps qu’il vit ».

Ni une ni deux, je me jette sur la page 77, pensant trouver les conseils classiques du genre : « Ne claquez pas les portières ! Ne parlez pas ! ».

Alors qu’on le verra plus loin, il faut claquer les portières si vous êtes dans un parking où tous les bipèdes claquent les portières et il faut parler si vous êtes dans un endroit où tous les bipèdes parlent et…….. vice-versa. !

Si vous arrivez dans un  endroit où seuls des 4×4 de chasse stationnent et d’où les bipèdes chasseurs démarrent à pied, alors là oui bouclez-là ! et ne claquez pas les portières !

Chers amis chasseurs, NOUS AVONS TOUT FAUX !!!

C’est précisément parce que nous ne claquons pas les portières, nous ne parlons pas, nous ne faisons pas de bruit, nous nous déplaçons lentement que nous faisons fuir le gibier !!

Ce livre apporte –entre-autres- la réponse à laquelle tout les chasseurs se posent : « Pourquoi peut-on approcher un animal sauvage avec une caméra et pas avec une arme ? ! ».

PARCE QUE COMME LE DIT TRÈS BIEN L’AUTEUR DU LIVRE : « CE N’EST PAS L’HOMME QUI DÉRANGE MAIS SON COMPORTEMENT ».

« Le gibier s’instruit ! » :

  • Il a appris qu’un bipède-promeneur qui se déplace en chantant, parlant fort et en claquant les portières, ne lui fait courir aucun danger.
  • Il a appris qu’un chasseur « se déplace comme un lynx, lentement à pas mesuré, qu’il ne parle pas, que son chien est silencieux ! ».

Page 79 : « Nous ne cessons de rappeler au chasseur que les chiens qui chassent le gibier en menant à la voix, le dérange très peu. Par contre des chiens qui restent muets sur la voie du gibier dérangent énormément celui-ci ».

Ce livre remet toutes nos habitudes en question !

Page 80 : « Nous les chasseurs, nous singeons consciemment ou inconsciemment les grands prédateurs. Nous ne nous déplaçons pas comme des bovins mais comme des lynx ».

L’auteur du livre le dit très bien : La tronçonneuse n’est pas un bruit qui fait peur au gibier car « un bruit identifié est un danger maitrisé ».

 Un peu comme ces vieux combattants qui disaient : « un obus qui siffle c’est qu’il est déjà passé, un obus qui gronde c’est un obus qui vous arrive sur la gueule ». Ou bien lors de la bataille du Pacifique contre les Japonais : « (Depuis un bateau) Si tu vois l’empennage de la bombe c’est qu’elle va tomber loin de toi ! Si tu vois juste un point c’est qu’elle est pour toi… ! ».

Mais comme le dit l’auteur page 95, ce serait trop facile s’il suffisait d’aller au poste en chantant pour ne pas être identifié comme bipède-chasseur par le gibier.

Ou alors, oui, mais les première fois seulement, le temps que le gibier comprenne la supercherie.

Car à la base et c’est ce que livre nous apprend, le gibier modélise le comportement du bipède-promeneur et du bipède-chasseur.

Deux anecdotes personnelles :

  1. Un gars qui avait l’habitude de tirer les corbeaux depuis la fenêtre de son séjour s’est très vite aperçu que les dits corbeaux pourtant situés très loin dans le champ, s’envolaient dès que les rideaux du séjour bougeaient !

Les corbeaux avaient fait le rapport (modélisation) entre les rideaux qui bougent et le fait que quelques instants après l’un des leurs allaient au tapis.

J’ai eu le cas d’un chien venu réveiller son maitre un samedi matin, quand il a entendu la voiture de son frère démarrer. Sauf que son frère partait tous les matins au travail à la même heure et que la chienne ne bougeait pas. Mais ce jour là c’était samedi, jour de chasse et la chienne s’inquiétait que son maitre ne soit pas déjà levé lui aussi pour partir faire le pied….

Ce livre conforte également d’autres analyses : Nous chassons trop de jours en semaine, toujours les mêmes et de façon trop administrative. On organise des battues comme on pointe à l’usine ! Il ne faut donc pas s’étonner de l’absence de gibier. Nous autres chasseurs avons trop souvent l’habitude de gérer les mêmes horaires : Rendez-vous à 7 heures, départ à 8 heures, fin de battue 13 heures.

  • Page 119 : « Les intervalles de tranquillité doivent être suffisamment longs afin que les gibiers les reconnaissent effectivement comme tels ». Ce cas n’est applicable qu’aux grandes AICCA.
  • Ce livre, je le répète, bat en brèche beaucoup d’idées reçues. Je pense notamment au sens du vent que vous allez réapprendre en fonction de l’état du ciel.
  • Il décrit admirablement les habitudes du gibier. Lorsqu’il fait très chaud, le gibier se déplace de très bonne heure à la fraîche.

Par temps froid, ses déplacements se font aux heures ensoleillées. Je comprends maintenant pourquoi j’ai souvent tiré le gibier à midi au soleil.

  • L’auteur est un puits de science en ce qui concerne l’utilisation d’un mirador, il prend des notes depuis des années et des années, consigne tout !

Il vous explique comment et à quel endroit placer un mirador : en fonction de la taille des arbres, clairière ou bois,  comment s’y rendre, comment le vent va se comporter en fonction de la météo. Vous allez en apprendre !

  • Voilà, j’avais très envie de vous faire découvrir ce livre remarquable qui bat en brèche tant d’idées reçues et qui est à ce jour le livre qui m’a le plus apporté en matière de comportement vis-à-vis du gibier.

Auteur : Andreas David. Le guide de reconnaissance du promeneur et du pisteur
Identifier la présence d’un animal grâce à des traces, empreintes et autres déjections est un jeu d’enfant si l’on sait les décrypter. C’est vrai pour le promeneur comme pour le chasseur. Depuis la nuit des temps nos lointains ancêtres ont pu chasser et se nourrir grâce à ce savoir, cette connaissance indispensable à leur survie. Aujourd’hui en grande partie et pour la plupart d’entre nous tout ceci s’est perdu. Ce livre a pour but de nous faire recouvrer de façon ludique et vivante le sens des traces laissées par les animaux durant leurs déplacements.

Dans ce livre sont présentées les 50 espèces d’animaux les plus fréquents, grands et petits gibiers, rongeurs, oiseaux :

– Empreintes, traces et laissées ou crottes

– Des tableaux pour déterminer la longueur des pas, comparaisons et différences entre des espèces voisines

– 200 photos, dessins et moulages pour une identification à coup sûr.

50 animaux et leurs cris grâce aux codes QR. Rien de tel pour faire participer des enfants ! Il vous suffit de flasher le QR code avec votre smartphone.

– Des informations complémentaires sur l‘état et la gestion des populations de nos forêts.

Le livre est au format A5, il s’emporte facilement das un sac à dos.

Traces et empreintes d’animaux sauvages: 19,95€. Format A5. 160 pages.

Bien déterminer l’âge des grands gibiers

Tout chasseur de grand gibier, doit avoir la capacité d’identifier la faune sauvage sans hésiter. Seuls ceux qui sont capables de différencier les caractéristiques liées à l’âge et au sexe de l’animal, sont en mesure de chasser dans le respect des équilibres biologiques. A défaut, l’acte de chasse devient préjudiciable au gibier et à l’image du chasseur.
Dans ce livre fort complet vous trouverez :
– Le savoir-faire d’un expert.
– Plus de 100 photos qui permettent d’expliquer comment on identifie l’âge et le sexe des chevreuils, grands cervidés, daims, mouflons, chamois et sangliers.
– Tous les trucs et astuces pour les identifier sans hésiter.

160 pages, 135×265 mm
Broché avec rabats
29.50 €

La chasse des petits migrateurs, grives, merle noir, alouette des champs et étourneau sansonnet.

La chasse connaît à nouveau en France une dynamique positive avec un nouvel intérêt pour
la chasse du petit gibier, notamment celle du gibier migrateur qui se porte bien. Quid des
gibiers de poche ? Voici une chasse qui a fortement imprégné notre culture tant sur le plan
de la gastronomie, que de celle de pratiques traditionnelles toujours vivaces. Ce livre
complet et richement illustré comblera les attentes de tous ceux qui souhaitent mener une
autre quête, ludique, rustique et buissonnière, génératrice des plus belles émotions.
Quelles armes et munitions utiliser ? Chasser avec quelles races de chiens ? Quels sont les
modes de chasse par région ? Qu’en est-il des chasses traditionnelles ? Telles sont les
questions auxquelles les auteurs apportent des réponses documentées.

192 pages, 170×230 mm
Broché-rabats
29.50€

REPENSER LA CHASSE – Tout ce que j’aurais dû savoir avant de dire je n’aime pas la chasse.

Tout le monde ou presque a un avis sur la chasse. Certains en sont de farouches défenseurs, d’autres l’exècrent tant qu’ils souhaiteraient la faire interdire. Entre ces deux camps retranchés, l’immense majorité des Françaises et des Français qui l’aiment, ne l’aiment pas, s’en moquent, pensent qu’elle est nécessaire ou au contraire qu’on peut s’en passer. Des opinions nuancées, souvent tranchées, parfois exprimées sans réelle connaissance du sujet.

Et vous, quel est votre avis sur la chasse ? Et surtout, sur quoi repose cette opinion ?

Ce livre n’a pas pour prétention de vous faire aimer ou détester la chasse. Il a pour seul et unique objectif de vous montrer ce qu’elle est réellement, concrètement, aujourd’hui en France. Loin des caricatures et des idées reçues, il explique, en montrant tout ce qu’il y a de bon dans la chasse tout comme ce qui ne va pas.

Une fois que vous l’aurez lu, ce que vous penserez de la chasse ne regardera que vous. Vous pourrez continuer à l’aimer, la détester, y être indifférent. Vous pourrez même changer d’avis à son sujet, mais au moins, vous saurez pourquoi.

320 pages. 22 €.

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